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  - (2004) Enquête sur les COR
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  - Nuclei Proletari per il Comunismo
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Publiée le 9 décembre 2005

- Kurde


Actualité du Kurdistan

Kurdistan Est. Nouvelles manifestations au Kurdistan d’Iran.

(AKI)

La mort d’un jeune Kurde dans le commissariat de Sanandaj, la capitale du Kurdistan d’Iran, a entraîné de nouveaux affrontements entre habitants Kurdes et police iranienne. Dimanche dernier (4/12), Pouya Ebrahimabadi, 22 ans, a été arrêté dans le centre ville de Sanandaj lors de descentes de police faites dans des lieux fréquentés par des nationalistes Kurdes. Des amis de Pouya raconte qu’il aurait été torturé pendant son incarcération et transféré ensuite à l’hôpital local dans un état critique. Il y est mort quelques heures après.

La police a elle fournit différentes versions. Son chef à Sanandaj, Rahim Khorshidvand, a indiqué que Pouya a été arrêté avec du hashish sur lui et qu’il se serait suicidé avant son interrogation.

Les jeunes nationaliste Kurdes attendent eux la restitution du corps de Pouya et lui rendre hommage pour des funérailles qui s’annonce comme le lieu de nouveaux affrontements.

Kurdistan Nord. Interview de l’officier de police capturé par les HPG.

(ANF)

L’agence de presse kurde ANF a réalisé un interview de l’officier de police turc Hasan Açil qui est retenu prisonnier par les guérillas des HPG dans un lieu tenu secret des montagnes kurdes. Hasan Açil avait été capturé le 9 octobre sur l’autoroute Midyat-Idil au Kurdistan Nord (sud est de la Turquie).

ANF : Comment les guérillas vous ont capturé ?

Hasan Açil : Nous étions sur route en direction de Cizre. La route a été bloqué par des personnes que j’ai pris pour des gardes de villages. J’ai pensé qu’il y avait eu un accident de la circulation et j’ai voulu les aider ; je me suis donc présenté comme étant officier de police. Ils ont alors pointé leurs armes vers moi et m’ont demandé de descendre du véhicule. « Etes-vous armé ? Posez votre arme ! »ont-t-ils dit. Je leur ai dit que je n’étais pas armé. Mon amie étant avec moi, je ne souhaitais pas être armé. J’ai donc dû suivre les guérillas.

ANF : Avez-vous été maltraité ou frappé ?

Hasan Açil : Non, ils ne m’ont pas frappé lorsque j’ai été sorti du véhicule ; ni depuis que je suis leur prisonnier.

ANF : Qu’avez-vous pensé lorsque vous avez été capturé ? Que pensiez-vous à ce qui pouvait vous arriver ?

Hasan Açil : J’ai pensé que j’allais être abattu parce que j’étais un officier de police.

ANF : Que vous ont-t-ils dit lorsque vous avez été capturé ?

Hasan Açil : Ils m’ont dit que j’allais être relâché sous peu. Que des ONG allaient me prendre en charge.

ANF : Vous avez depuis passé plusieurs mois dans la guérilla comme captif. Avez-vous été maltraité pendant cette période ?

Hasan Açil : Ma santé et ma condition physique sont bonnes. Je veux que l’Association des Droits de l’Homme me ramène à ma famille. Mon état général est bon mais psychologiquement c’est quand m^me difficile.

ANF : Quels sont vos besoins journaliers, comme la nourriture ou l’hygiène, qui pourraient vous manquer ?

Hasan Açil : Ils me traitent comme l’un des leurs. Ce qu’ils mangent, ils me le donne aussi. Il n’y a pas de problème d’hygiène.

ANF : Vous êtes un témoin privilégié du quotidien de la vie des guérillas, vous avez vu les femmes de la guérilla. Qu’en pensez-vous ?

Hasan Açil : Je les vois comme des combattant d’une résistance armée. Il n’y a pas de différence entre hommes et femmes parmi eux.

ANF : Vous avez pu téléphoner une fois à votre famille, mais depuis vous n’avez pas eu de contact avec elle. Avez-vous quelque chose à leur transmettre ?

Hasan Açil : Je souhaiterais les retrouver le plus vite possible. Je souhaiterais que l’Association des Droits de l’Homme rende la chose possible.

ANF : Avez-vous un appel à faire à l’Etat turc, aux institutions que vous représentez et aux ONG ? Que voulez-vous qu’ils fassent ?

Hasan Açil : Je souhaiterais être libéré comme Coskun Kirandi. Je souhaite qu’ils mettent en place les conditions nécessaires à ma libération.

ANF : Attendez-vous quelque chose de l’Etat turc et des institutions ?

Hasan Açil : Je souhaite juste que l’Association des Droits de l’Homme soit médiateur.

ANF : Avez-vous quelque chose de plus à dire ?

Hasan Açil : Je souhaite juste retrouver ma famille, elle me manque. Je n’ai rien d’autre à ajouter.

Kurdistan Nord. Six morts dont 4 soldats turcs dans des combats avec des rebelles kurdes

DIYARBAKIR (Turquie), 9 déc 2005 (AFP) - Des combats entre séparatistes kurdes et l’armée turque ont éclaté vendredi dans la province de Sirnak, frontalière de l’Irak et de la Syrie, faisant six morts, dont quatre militaires près de la localité de Guclukonak, a-t-on appris de source officielle.

Des violences se sont également produites dans la soirée à Silopi, une autre ville de la province, où trois explosions quasi-simultanées devant des magasins ont fait au moins un blessé et des dégâts matériels.

L’instabilité dans le sud-est de la Turquie s’est accrue depuis l’annonce en juin 2004 par les séparatistes du Parti des travailleurs du Kurdistanqu’ils mettaient fin à une trêve unilatérale de cinq ans.

Le FBI américain a d’ailleurs indiqué qu’il coopérait avec la Turquie dans la lutte contre le PKK.

"Nous travaillons avec nos partenaires partout en Europe et en Turquie pour cibler le PKK et nous travaillons en coopération pour trouver et couper les financements des groupes terroriste quels qu’ils soient, le PKK ou Al-Qaïda", a déclaré le directeur du FBI, Robert Mueller, en déplacement à Ankara pour une journée de travail avec des dirigeants de la police et des services secrets turcs.

Selon des responsables locaux, les combats à Guclukonak ont fait suite à une opération menée jeudi par l’armée près de cette ville contre la rébellion kurde.

Quatre soldats turcs ont été tués et deux autres blessés après avoir été attaqués peu après minuit à coup de fusils, de grenades et de grenades de RPG, alors qu’ils montaient la garde devant un poste militaire.

L’armée a riposté en lançant une opération couverte par un appui aérien dans la zone et deux rebelles ont été tués.

La mort des quatres soldats a été confirmée par le ministère turc de l’Education Huseyin Celik, présent pour inaugurer une école dans cette région qui souffre d’une pauvreté chronique et du conflit prolongé entre l’armée et le PKK.

A Silopi, les trois explosions font suite à une série d’arrestations cette semaine. L’agence semi-officielle Anatolie a affirmé qu’une personne avait été blessée tandis que l’agence pro-kurde Firat a fait état de plusieurs blessés.

Deux membres présumés du PKK, accusés de planifier des attentats, et sept autres personnes ont été arrêtées dans cette ville mercredi, des armes et du plastic ont été saisis.

La tension dans le sud-est de la Turquie a connu une escalade en novembre.

De violentes manifestations ont suivi un attentat à la bombe, le 9 novembre, contre une librairie de la ville de Semdinli, dans la province de Hakkari, propriété d’un ancien membre de la guérilla kurde.

Les habitants et les élus locaux de Semdinli avaient avancé la thèse que des éléments de l’armée ou des services secrets puissent être à l’origine de l’attentat, qui avait fait un mort. Cinq autres personnes ont été tuées dans les émeutes qui ont suivi.

Le gouvernement turc, sous pression de l’Union européenne pour faire respecter la démocratie et l’Etat de droit sur l’ensemble du territoire en vue de son adhésion, a promis de faire la lumière sur cet attentat.

Kurdistan Nord. Le FBI américain aide la Turquie contre les rebelles kurdes du PKK

ANKARA, 9 déc 2005 (AFP) - Le FBI américain coopère avec la Turquie dans la lutte contre la rebellion armée du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), a indiqué vendredi son directeur Robert Mueller à Ankara.

"Nous travaillons avec nos partenaires partout en Europe et en Turquie pour cibler le PKK et nous travaillons en coopération pour trouver et couper les financements des groupes terroriste quels qu’ils soient, le PKK ou Al-Qaïda", a déclaré M. Mueller à des journalistes, à l’issue d’une journée de pourparlers avec des dirigeants de la police et des services secrets turcs.

"Nous avons eu des résultats concrets et nous en aurons d’autre dans le monde, en Europe et ailleurs", a-t-il ajouté.

M. Mueller a précisé que cette journée de travail avec ses homologues turcs avait pour but de resserrer les liens bilatéraux et de permettre aux deux pays de coopérer face aux menaces terroristes.

Les forces de sécurité turques sont engagées dans un combat difficile avec le PKK depuis que ce groupe a pris les armes en 1984 pour obtenir l’indépendance de la région majoritairement peuplée de Kurdes du sud-est anatolien. Le conflit a fait environ 37.000 morts depuis.

Des milliers de militants kurdes ont trouvé refuge dans les montagnes du nord de l’Irak depuis 1999 et ont commencé à revenir infiltrer la Turquie en organisant des attaques anti-gouvernementales dans le sud-est depuis le début de l’année.

La Turquie a quant à elle longtemps critiqué les Etats-Unis pour son échec dans la répression des rebelles, allant jusqu’à menacer d’effectuer des opérations hors de ses frontières, en Irak, si la menace n’était pas éliminée.

Washington a longtemps été réticent à s’engager militairement, proposant d’assécher les ressources financières du groupe.

Kurdistan. Une solution est indispensable !

Ahmet DERE 05.12.2005

La lutte du peuple kurde est entrée dans un processus où une solution est indispensable. Les efforts que les Kurdes ont déployé depuis les années 1970 se sont soldés par une situation nouvelle entre les Kurdes et les forces dominantes dans le monde. Surtout les Européens et les Américains sont les plus concernés dans cette question. Bien sûr, on ne peut pas faire de grandes différences entre ces deux grandes puissances et les Russes, les Japonais, les Chinois et les états de la région du Moyen-Orient. Ces derniers sont aussi bien concernés par les conséquences de la lutte pour la liberté et la démocratie du peuple kurde. Nous voyons avec satisfaction que, sur les plans politique et diplomatique mondiaux, les Kurdes se sont fait une place. Mais, je dois rappeler que cette place a été gagnée par une lutte juste et exemplaire du peuple kurde, et celle-ci a été conduite avec beaucoup de sacrifices.

Les Kurdes de la partie du Kurdistan d’Irak sont reconnus officiellement par l’Organisation des Nations Unies (étant une partie officielle de l’Irak) Tout le monde sait que les Américains et les Européens ont diverses relations avec ces Kurdes. Dans les prochaines années, la région du Kurdistan d’Irak aura une grande importance aux niveaux économique et diplomatique auprès des forces internationales. Peut-être cette région du Kurdistan ne sera pas reconnue comme un pays indépendant, mais, de toutes façons, elle aura une importance qui ne sera pas niée par le monde entier. Donc, désormais, nous pouvons dire qu’une page importante est ouverte dans l’Histoire des Kurdes.

Le pays des Kurdes de Turquie est la plus grande et importante partie du Kurdistan. Plus de 20 millions de Kurdes vivent actuellement dans les frontières officielles de la Turquie d’aujourd’hui. Avec la lutte qui est menée depuis les années 1975 pour la liberté des Kurdes, la population de cette région est devenue plus ouverte aux normes démocratiques et contemporaines de l’Ouest. Nous pouvons dire que les Kurdes de cette partie du Kurdistan peuvent devenir une force catalysatrices dans le processus de démocratisation de la région du Moyen-Orient et également de l’adhésion de la Turquie à l ’Union Européenne (UE). Mais cela ne se réalisera que si les autorités européennes acceptent ce rôle important que peuvent jouer les Kurdes.

De toutes façons, et quelle que soit la solution à la question kurde de Turquie, elle est devenue d’ores et déjà une tâche de l ’UE. Même si l’Europe refuse toujours d’accepter la Turquie au sein de l ’Union, elle ne pourra pas s’éloigner de la réalité de ce fait. Comme on ne peut pas penser que l’Europe puisse nuire à ses propres intérêts en Turquie et dans la région du Moyen-Orient, on ne peut pas dire que l’ Union Européenne pourra rester sans réagir vis à vis de la question kurde. Avant tout il faut que cette réalité soit bien acceptée par les autorités européennes. Plus vite l’Europe accepte la réalité de discute avec les Kurdes, pour trouver une solution équitable, plus l’Europe aura de chance pour défendre ses intérêts dans la région du Moyen-Orient. C’est pourquoi il est indispensable que les institutions européennes, telle que le Parlement et la Commission, entament un processus de dialogue avec les Kurdes de cette région en question. Le temps est venu, il faut passer aux actes.


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