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Publiée le décembre 2002

- Fraction Armée Révolutionnaire Libanaise


Georges Ibrahim Abdallah ( Comité des parents et amis du militant Georges Ibrahim Abdallah)

La Liberté au militant Georges Ibrahim Abdallah

18 ans dans les prisons françaises

Pour une Palestine libre et arabe, en lutte contre l’impérialisme et le sionisme

Pour un Liban arabe et démocrate, en lutte contre le sous-développement et le confessionnalisme

18 ans dans les prisons françaises

Grace à l’iniquité de la Justice française, à sa dépendance envers l’agressivité des Etats Unis d’Amérique.

- Qui est Georges Ibrahim Abdallah ?

Né à Kobayath - Akkar, le 2/4/1951. Il continua ses études à l’Ecole Nornale à Achrafieh, et s’est formé en 1970. Il commença sa lutte dans les rangs du Mouvement National ( Parti National Social Syrien), pour s’adhérer ensuite à la résistance palestinienne (Front Populaire de la Libération de la Palestine) défendant ainsi la résistance et les deux peuples palestiniens et libanais. Il se blessa lors de l’invasion israélienne d’une partie du territoire du sud libanais en 1978. Sous l’empire d’un silence mondial atteignant la complicité, surtout lors des hostilités générales contre le Liban en 1982, l’agression israélienne permanente contre les deux peuples palestinien et libanais provoqua une révolution intense dans les esprits de beaucoup des combattants libanais et arabes qui s’étaient précipités dans les pays du monde, comme des tentatives personnelles, en poursuite des sionistes visant la vengeance des pertes considérables que notre peuple arabe a subies. Georges Abdallah représentait une de ces loyales tentatives de lutte dont les pays du système mondial oppresseur, maniés par les Etats Unis, feignaient de ne pas voir la noblesse des motifs humanitaires et ardents, ces motifs jaillissant de la profondeur des blessures de notre peuple, de son patrimoine très ancien et de la richesse de l’humanité tout entière par rapport aux droits de l’Homme dont au premier lieu figure la légitimité de la liberté nationale des peuples de s’affranchir de l’impérialisme.

- Début de la captivité

Les autorités françaises l’incarcérèrent le 24 / 10 / 1984, après qu’un groupe de Mossad et quelques-uns de ses agents libanais l’eurent poursuit à Lyon. Cependant, le régime français représenté par les forces de sécurité et le pouvoir de la justice ne motivait son incarcération que par la détention de vrais-faux papiers d’identité : ce fut un passeport algérien légal. Jacques ATTALI, Verbatim, t. l. Deuxième partie Chronique des années 1983 - 1986, Fayard, Paris, 1993, p. 1180 : " Mercredi 6 mars 1985... il n’est inculpé que de faux et usage de faux. Il dispose d’un " vrai - faux " passeport algérien. "

- Les autorités françaises : promesse de le relâcher

Les autorités françaises avaient promis au gouvernement algérien la mise en liberté de Georges Abdallâh et son relâchement. Dans ce but, elles avaient envoyé le chef du département des services secrets français en Algérie pour en informer le gouvernement algérien. Jacques ATTALI, Verbatim, t. l. Deuxième partie Chronique des années 1983, p. 1202 : "Jeudi 28 mars 1985... Ive Bonnet, patron de la DST, envoyé à Alger, explique qu’Abdallâh, arrêté à Lyon, sera libéré pendant l’été en raison des faibles charges qui pèsent contre lui. Les Algériens lui répondent que le Français enlevé au Liban, Pyrroles, sera relâché si Abdallâh l’est aussi. On obtient que celui-là précède celui-ci. ". Jacques ATTALI, Verbatim, t. lI. Chronique des années 1986 - 1988, Fayard, Paris, 1995, p.25 : (lundi 24 mars 1986), Réunion chez le Président (MITTERRAND) avec Ulrich (représentant Jacques Chirac), Giraud, Raimond, le général Forey et Jean-Louis Bianco. Le Président : " ... la DST avait été autorisée à dire aux Algériens (qui servaient d’intermédiaires) que la libération d’Ibrahim Abdallâh était envisageable dans le cadre de la loi française. La DST a sans doute dit aux Algériens : on va le libérer tout de suite... "

- Les autorités françaises : non respect de ses engagements Il fut traduit devant le tribunal le 10 / 7 / 1986 pour la détention d’armes et d’explosives d’une façon illégale ; une sentence de quatre années d’incarcération fut prononcée. Il refusa le procès mais n’objecta pas. Les Français manquaient à leur promesse.

- Deuxième procès : condamnation à perpétuité

En 1 / 3 / 1987, les autorités françaises le jugèrent une deuxième fois pour l’avoir accusé de charge de conspiration dans des actes " terroristes ", et un verdict de condamnation à perpétuité fut prononcé. Une autre fois, il refusa le procès mais n’objecta pas.

- Liste de charges

Il fut soupçonné d’avoir fondé les " Forces Armées Révolutionnaires Libanaises " (FARL) et d’avoir prémédité un ensemble d’opérations dont les plus importantes sont :
- Tentative d’assassinat de Christian Edison Chapman, le responsable en second à l’ambassade américaine en France, le 12 novembre 1981 ;
- Assassinat du Colonel Charles Ray, l’attaché militaire à l’ambassade américaine en France, le 18 janvier 1982 ;
- Assassinat de Yakov Barsimantov, le secrétaire en second à l’ambassade israélienne en France, le 3 avril 1982 ;
- Piégeage et explosion de la voiture de Rodrigue Grant, l’attaché commercial à l’ambassade américaine en France, le 22 août 1982 ;
- Assassinat du diplomate américain Leman Hant, l’ex-chef des forces nationales à Sinaa, le 15 février 1984 ;
- Tentative d’assassinat du Consul Général des Etats Unis Américains à Strasbourg, Robert Onan Home, le 26 mars 1984...

- Soumission française aux contraintes américaines

Les autorités françaises étaient, à point nommé, soumises à la contrainte américaine. Reagan discuta le sujet du procès de Georges Abdallâh lors d’une rencontre avec le président français Mitterrand ; aussi de nombreuses immixtions américaines s’étaient - elles déroulées afin de pousser les autorités françaises à ne pas relâcher Georges Abdallâh. Les Etats Unis étaient partie civile dans le procès. C’est par surcroît de ce qu’ils enduraient de l’emprise sioniste. J. ATTALI. Op.Cit., 103, 104 et 105 ; vendredi 27 juin 1986. A l’ambassade de France à La Hayes, petit déjeuner traditionnel entre François Mitterrand et Helmut Kohl... François Mitterrand : " ... Le conseiller pour la Sécurité de Ronald Reagan, John Pointdexter, nous télégraphie pour nous mettre en garde contre une éventuelle libération d ’Ibrahim Abdallâh avant son procès et avant que les autorités américaines n’aient toutes les preuves relatives aux charges contre lui. Son gouvernement, rappelle - t - il, s’est porté partie civile dans ce procès, et le Président américain y voit une occasion de démontrer la capacité et la volonté des sociétés démocratiques de faire pleinement justice contre ceux qui sont accusés de commettre des actes de terrorisme. Pourquoi nous écrit - on cela ? Nous ne savons rien de ce dont il retourne. Les Américains sont - ils au courant des tractations engagées à ce sujet par le gouvernement à l’insu de l’Elysée ? "

- L’administration française désoriente l’opinion publique française

Pour lors, l’opinion publique était prise sous l’empire d’une chaîne " d’explosions " que Paris vit entre 1986 et 1987, et qui avaient fait de nombreuses victimes françaises. Le département de la sécurité française accusa les frères de Georges Abdallâh de ces " explosions " et annonça des sommes d’argent, comme des prix, à qui puisse le renseigner sur eux. Ensuite, il propagea les noms des frères dans tout le monde pour les poursuivre, après avoir passé leurs photos à toutes les postes frontalières et aux lieux publics en France. Tout cela et les frères accusés niaient immédiatement ces propos calomnieux à travers des conférences de presse. Il paraît que Les informations sur lesquelles s’appuyait Le département de la Sécurité Française provenaient des rapports de Mossad et ceux de l’avocat de Georges, Jean-Paul Mazurie, qui usait de la drogue de sorte que le Département le mobilisa selon la façon qu’il le protégerait à condition qu’il soit son agent ( Le syndicat des avocats chassera plus tard de ses rangs cet avocat après avoir découvert son affaire). Cet avocat inventait les preuves sur lesquelles s’étaient basées les autorités françaises. Laurent GALLY : L’Agent noir. Une Taupe dans l’Affaire ABDALLAH. Soudain, les organisations françaises de sécurité annoncèrent la découverte d’une arme dans un appartement loué au nom de Georges, et ils prétendirent que cette arme supposée fut utilisée dans l’attentat contre un officier américain et un autre israélien. C’était la seule preuve pour la réouverture du procès et la condamnation à perpétuité ! Aussi, les autorités françaises restituèrent - elles le tribunal propre au terrorisme qui prononce ses verdicts en se basant sur les données des services secrets, sans avoir recours aux preuves juridiques, ni aux témoins contrairement aux codes de procédure. Personne ne s’était absolument présenté en témoignage de l’implication de Georges Abdallâh dans tout ce qu’on lui attribuait comme charges. Plus tard, il s’était révélé que les autorités françaises de sécurité étaient au courant de l’identité de la partie qui exécutait ces explosions ; elles négociaient et débattaient avec elle, et plus tard, elles se plièrent à ses conditions, avec l’accord des autorités politiques.

- L’administration française cherche un bouc émissaire

Sur ce, la condamnation à perpétuité de Georges Abdallâh et l’accusation de ses frères furent " le bouc émissaire " pour désorienter les Français et pour satisfaire les Américains et les sionistes, et aussi pour faire apparaître la France comme étant le pays qui puisse combattre le terrorisme. Le militant Georges Abdallah a commencé sa dix septième année de condamnation à perpétuité ; à savoir qu’il est dans les possibilités du Ministère de la Justice de le libérer juste à la fin de sa quinzième année de détention, et cela par un simple arrêté administratif du ministère déjà cité, conformément au code pénal français suivant lequel Georges avait été jugé. Nous nous présentons devant vous pour solliciter votre contribution à la libération de Georges Abdallâh, et à la poursuite en justice du gouvernement français pour l’avoir iniquement condamné, continué à l’emprisonner, accusé à tort ses frères et pour l’humilité qu’il avait fait subir aux Libanais.

- Que pourrions-nous faire ?

La libération du militant Georges Abdallâh ne requiert pas de recours en grâce particulier. C’est que sa libération est possible juste par un simple arrêté administratif du Ministère de la Justice, conformément au code pénal français suivant lequel Georges avait été jugé, qui rend ce relâchement possible après quinze années d’incarcération. Voilà dix sept années passées à la détention du militant Georges Abdallâh ; ce qui insinue que continuer à le détenir montre un abus de droit français, un abus des possibilités du pouvoir juridique français et une transgression des lois appliquées en France. En plus, le dossier de Georges Abdallâh est maintenant entre les mains du juge d’application des peines ; d’autre part, une certaine détermination s’est constatée pour astreindre le militant Georges Abdallah à condamner sa longue lutte contre le sionisme et l’oppression américaine, comme si dix sept années de détention n’avaient pas suffi aux autorités françaises ; alors elles tentent de l’humilier ; cependant, la détention aura beau durer, elles n’accéderont jamais à leur demande. Sur ce, nous pourrons faire tant de choses pour amener le Ministère de la Justice à se réduire aux lois que le gouvernement français adoptent lui-même.
- Collaborez à l’adjonction au Comité des parents et des amis du militant Georges Ibrahim Abdallâh,
- Collaborez à la propagande de l’affaire de Georges Ibrahim Abdallâh et à démasquer l’injustice française envers lui,
- Envoyez des lettres et des dépêches revendiquant la libération immédiate du militant Georges Ibrahim Abdallâh aux : Président de la République française, Chef du Gouvernement français, Ministre de la Justice française, Comité Français des Droits de l’Homme, Parlement Européen,
- Envoyez des lettres et des dépêches revendiquant la libération immédiate du militant Georges Ibrahim Abdallâh aux : Président de la République libanaise, Chef du Gouvernement libanais, Ministre de la Justice Libanais, Chef du Parlement,
- Demandez à votre représentant au Parlement d’adopter l’affaire du combattant Georges Ibrahim Abdallâh,
- Ecrivez au Ministre de l’Education. de la Jeunesse et du sport, au Liban pour qu’il revendique la libération de l’enseignant Georges Ibrahim Abdallâh, et qu’il lui rende ses droits comme étant un enseignant militant,
- Ecrivez au commandement de L’Organisation de la Libération de la Palestine pour qu’elle adopte le militant Georges Ibrahim Abdallâh,
- Ecrivez à la presse locale et mondiale.

Comité des parents et amis du militant Georges Ibrahim Abdallah

Pour contacter : Dr. Joseph Abdallâh

tél. : +961 3 810946 - Fax : +961 6 351633

E-Mail : awlamat@dm.net.lb


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